• Les tomates

    J'ai pu récupérer, grâce au Jardin de Christine de Saint-Savinien, des plants de tomates. 4 variétés (marmandes, ananas, roses de berne et cornues des Andes) à raisons de 35 pieds par variété. 

    Mes objectifs avec ces plants :

    • Garder des graines pour perpétuer les graines paysannes
    • Ne pas arroser les plants afin de les habituer au terrain sans eau 

     

    Pour différentes raisons, j'ai planté les pieds fin mai. Les plants étaient très petits, rien n'était gagné d'avance. Je les ai gorgés d'eau pour qu'ils prennent racine et ne suis plus intervenue. Ils ont, donc, été obligés de puiser l'eau qu'ils avaient besoin là où il y en avait. Afin qu'ils ne s'épuisent pas trop, j'ai tout de même égourmandé les pieds au tout début pour qu'ils n'aient qu'à se fortifier. 

    Résultat des courses :

    Je n'ai pas pesé le nombre de kilos de tomates ramassées mais il y en avait beaucoup. Mes voisins, mes amis mes collègues et autres ont pu se régaler. Et je ne pèse pas mes mots. Les fruits avaient une peau peu épaisse, étaient juteux et sucrés. Aucune maladie. J'ai mis ça sur le compte du beau temps mais certains producteurs ont vu le mildiou sur leurs plants. Je reste persuadée que le temps a favoriser la bonne santé des plants.

    Néanmoins, en août, il y a eu un pic de température. Là, je n'étais pas rassurée et ne savais pas comment intervenir : j'arrose ou pas. Alors je m'en suis remise aux Êtres de la Nature pour savoir quel était le geste à adopter en fonction des besoins des tomates et surtout en fonction de ce qui se jouait sur les plans subtiles. Je n'oublie pas que l'important est de maintenir un équilibre et une harmonie. Même si j'ai des objectifs et l'envie d'une certaine pratique, ceux-ci peuvent se modifier fonction du plan global (physique, énergétique et spirituel). J'étais donc prête à arroser. Ce n'était pourtant pas nécessaire. Effectivement, 2 ou 3 jours plus tard il s'est mis à pleuvoir (très peu mais je pense suffisamment pour ne pas ajouter d'eau). 

    In fine, tartes à la tomate, coulis de tomates, jus de tomates, salades de tomates... ont été au rendez-vous à partir de fin juillet. Il reste encore des tomates sur les pieds. Mais le temps n'est pas très propice pour qu'elles mûrissent. 

    Je n'ai aucune photo pour illustrer cette première expérience. Je prendrai soin de le faire pour cet automne. 


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  • Après avoir couché les herbes hautes en marchant dessus avec une planche, voici le résultat :

    Lorsque la nature s'inviteLorsque la nature s'invite

    Et voilà que sur le chemin du retour, je suis interpellée par ce que l'on appel un nid d'oiseaux mais au sol (c'est la première fois que j'en vois un, non pas un nid d'oiseaux mais un nid d'oiseaux au sol) 

    Lorsque la nature s'invite

    Le soleil est très présent (+ de 30° en plein soleil) il faut donc improviser rapidement pour protéger ces petits oisillons pas très vifs...

    Lorsque la nature s'invite

    Vous vous demandez peut-être ce que c'est ? Il s'agit d'un tancarville recouvert de branches de saule.

    Et après avoir fait cet abri...

    Lorsque la nature s'invite

     

    Quelques heures à l'ombre et voici le résultat : des oisillons en pleine forme

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Malheureusement, 2 jours plus tard les petits se sont éteints alors que les parents me semblaient présents frown.


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  • L'idée générale du projet est de mettre en place un jardin jungle (au fond du terrain), un jardin nourricier et un potager. 

    Les techniques utilisées sont basées essentiellement sur le respect. Ce terme, plus qu'un concept pour moi, est essentiel à la création d'un lieu vivant où toutes les dimensions se rejoignent. Dans les dimensions j'y mets le physique, l'énergétique et le spirituel. L'harmonie de cet espace est primordiale. C'est pour cela que je travaille en co-création avec les Intelligences de la Nature. 

    Mon défit : réussir la co-créativité au sein d'une activité agricole et rentable. La rentabilité est, bien sûr, fonction des besoins.


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  • Les jardins Hélioterre sont nés d'une rencontre humaine entre un collectif et une personne en phase de reconstruction professionnelle.

    Le collectif des jardins du Château recherchait un maraîcher pour cultiver l'hectare de terrain agricole qu'il avait en fermage. J'étais sur un projet de reconversion et recherchais un lieu pour m'installer et concrétiser mon projet de maraîchage.
    Après la prise de contact, une rencontre et des discussions sur les impératifs de chacun, les 2 projets se sont alliés pour n'en faire qu'un...


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